LA FLUORATION : AUTOPSIE D’UNE ERREUR SCIENTIFIQUE
Pierre-Jean Morin, Ph. D. médecine expérimentale
Me John Remington Graham
Gilles Parent, N.D.
LES ÉDITIONS BERGER 2005 (336 pages)
Dans cette nouvelle parution, les auteurs du livre LA FLUORATION : AUTOPSIE D’UNE
ERREUR SCIENTIFIQUE ont réuni les information les plus récentes reliées aux conséquences
de la fluoration aussi bien pour l'environnement que pour la santé. Ils sont très
connus partout en Amérique, car ils sont les spécialistes que les juges écoutent
quand des citoyens contestent leurs municipalités sur la base des effets réels de
la fluoration de l'eau. À ce jour, ils ont gagné toutes leurs causes, aux États-Unis
comme au Canada. Les démonstrations scientifiques sont rigoureuses, la recherche
exhaustive, les effets sur la santé expliqués, les conséquences environnementales
démontrées. Le bilan qu'ils font parle de lui-même: inutile ici d'être alarmiste.
La rigueur de l'exposé et son exhaustivité suffisent.
Les auteurs : PIERRE-JEAN MORIN, Ph.D. a gradué en biochimie à l'Université Concordia.
Il a ensuite obtenu une maîtrise et un doctorat en médecine expérimentale de l'Université
Laval. Plus tard, il a suivi des cours intensifs à l'École de Santé publique de
l'Univesité Harvard à Boston. Il est auteur ou coauteur de quelque 80 publcations
dans le domaine de la médecine, dont sept concernant la fluoration des eaqux de
consommation. JOHN REMINGTON GRAHAM, B.A., LL. B. est membre du Barreau de l'État
du Minnesota.
Il est coauteur de plusieurs articles marquants sur l'épidémiologie du cancer, publiés
aux État-sUnis, en Angleterre et au Canada. Ses grandes connaissances sur la fluoration
de l'eau de consommation lui ont valu de participer à la rédaction de plusieurs
travaux scientifiques sur ce sujet. GILLES PARENT, n.d. est naturopathe.
Il a été vice-président de l'Association des diplômés en naturopathie du Québec.
Il a la charge de la direction scientifique du Front commun contre la fluoration
et y publie la revue "Fluoration en question".
Erreur scientifique
Partout en Amérique, des ministères de santé publique font des pressions pour que
les citoyens acceptent de fluorer l’eau du robinet, s’appuyant en cela sur une corrélation
établie il y a 60 ans entre la présence de fluor naturel dans l’eau et un faible
taux de carie dentaire (1931). Les données actuelles tendent à démontrer que, non
seulement la fluoration a des effets secondaires nocifs à long terme, mais n’a pas
eu les effets escomptés contre la carie dentaire. On a d’abord constaté l’apparition
de cas de fluorose, puis déterminé que la fluorose était un indice d’intoxication
(donc que l’apport total était trop élevé). Dans les régions où l’eau est fluorée
depuis plus de 30 ou 40 ans, la fluorose est maintenant endémique (69 % des enfants
à Toronto), mais ce qui est plus grave, on note également une augmentation anormale
de certains cancers. Il y aurait même un lien documenté avec un faible QI (à cause
du plomb contenu dans les fluorures utilisés pour fluorer l’eau) et d’autres problèmes
neurologiques, sans compter les effets non négligeables sur l’environnement et la
chaîne alimentaire, effets démontrés depuis fort longtemps (Livre rouge du Menviq,
1979).
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Comment en est-on arrivé là ?
La carie dentaire constituait l’une des affections les plus répandues dans la population.
Comme le facteur premier de la carie dentaire est la condition socioéconomique,
la plupart des intervenants en santé ont vu dans le fluor une manière efficace d’aider
les enfants, tout particulièrement ceux des régions défavorisées. Malheureusement,
le désir d’aider les enfants s’est transformé en croyance d’autant plus difficile
à remettre en question qu’elle a donné naissance à toute une industrie de produits
fluorés et a permis le recyclage de déchets industriels dans les eaux des municipalités.
Tout le problème résidait et réside toujours dans la détermination du dosage optimal,
sachant que l’apport total individuel dépend largement des habitudes de vie individuelles
et des produits d’hygiène utilisés. Devant la montée de la fluorose, trois revues
substantielles de la littérature scientifique des années 1940 à 1990 ont été entreprises
(U. de Toronto, 1999, U. de York en Angleterre, 2000; US Science Subcommittee on
Fluoridation du National Academy of Science, résultats annoncés en 2006). Les deux
premières études concordent : les données antérieures sur les dosages proviennent
de recherches présentant des faiblesses méthodologiques graves. Ces résultats ont
donné le coup d’envoi à de nombreuses recherches épidémiologiques fondées non pas
sur le fluor, mais sur les fluorures de silicate et de sodium effectivement utilisés
pour fluorer l’eau et les dentifrices. De 2000 à 2005, de nombreux nouveaux résultats
sont publiés à un rythme croissant si bien que, même les organismes nationaux et
internationaux qui ont supporté la fluoruration depuis des décennies, reculent prudemment
quand au taux de réduction de la carie, à la prescription de suppléments, aux dosages,
au monitoring de la fluorose, aux groupes d’âge à qui l’offrir, etc., en attendant
la preuve définitive de la nocivité des fluorures ou de leur inefficacité contre
la carie dentaire (Vancouver a moins de carie dentaire que Toronto, pourtant fluorée
depuis 1963). Le livre LA FLUORATION : AUTOPSIE D’UNE ERREUR SCIENTIFIQUE est en
vente dans toutes les librairies et peut être commandé chez LES ÉDITIONS BERGER:
http://www.editionsberger.com/fr/products.php?prd=763031394&cat=624038294
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